De retour d’un séjour à Calamès en Ariège, les grimpeurs nous on ramené un journal de bord et un aperçu de ce qu’ils ont vu… de quoi nous donner envie d’y (re)faire un tour !
Samedi 18
Arrivée au gîte à Bédeilhac idéalement situé pour grimper sur les falaises de Calamès. Le gîte est parfait et Deborah nous accueille chaleureusement. L’autre partie du groupe s’installe au camping au pied du Sédour. Premières couennes au secteur Papy.
Dimanche 19
Le matin, il pleut. Les jeunes vont grimper dans une grotte proche de Tarascon. L’après-midi, on randonne ; on s’égare un peu ce qui donne un peu de piquant à la balade. Accès au sommet du Sédour (1070m) en mettant les mains ce qui n’est pas pour nous déplaire.
Lundi 20
Premières grandes voies à 2 ou à 3. Le bas est un peu humide. Prélude, Les Pères Tranquilles, Pour Lubelline. En descendant, on retrouve Jérémie, Claire et leur bébé Simon, Isa, Charly, Marlène et Eric. Couennes au soleil l’après-midi.
Mardi 21
On change les équipes mais on reste dans les mêmes voies que la veille. Certains essaient de passer en posant des coinceurs ; la voie des Pères Tranquilles s’y prête bien mais on clipe tout de même une plaquette placée judicieusement. Deux prises qui lâchent, deux chutes dont une en tête, des émotions mais pas de mal.
Mercredi 22
Après le calcaire de Calamès, c’est le granit d’Auzat. Voies magnifiques où on apprend à poser ses pieds. Le vent se lève et la pluie arrive vers 16h. Repli au camping de Surba. Bière et slack. Eric et sa bande rejoignent les jeunes pour passer la soirée.
Jeudi 23
La pluie cesse en fin de matinée, on récupère. Les uns vont à Ax puis à Orlu sur un site de bloc et bavent devant la Dent, les autres randonnent (et botanisent) jusqu’au sommet de Roche Ronde puis Rabat les Trois Seigneurs.
Vendredi 24
Kiki se rend avec les forts sur des couennes difficile de Génat. A Calamès, Stéphane et Yann mène leurs cordées respectives au sommet (Colette, Marilyn, Adèle et Alain). Retour sur les couennes dans l’après-midi avec Yoann, Léa, Jules et Jules. Laurent, Quentin, Clément et Jean-Emile font les 6 premières longueurs d’Anaïs. Émotions garanties. Remontée sur corde de Laurent après une chute, descente inconfortable dans les buis pour rejoindre le rappel, rappel coincé qu’il faut aller décoincer. Couscous final, ambiance joyeuse.
Samedi 25
Retour à La Roche vers 16h, la tête pleine de souvenirs.